Ah ! ça fait du bien de rentrer à la maison se poser un peu.
Là, 26 juin, il est minuit, on pourrait aller se balader à pied sans problème.
minuit coté mer, en qq mn on est passé du rose à l'orange
Mince, mes potes ont changé de pré, je ne les vois plus de ma fenêtre, mais ils ne sont pas loin quand même, juste de l'autre côté de la route:
Michel était passé me voir quelques semaines avant, c'est en découvrant une oeuvre de Sylvie et Aline qu'il s'est écrié "mais Aline, c'est ma cousine!"
Il est venu en Islande la première fois avant moi, en 1979 je crois, arrivé par bateau car il naviguait alors. Depuis, il est beaucoup venu en Islande, sa Land Rover "B612 "est remarquablement bien équipée (oui, elle est belle aussi, bien sûr).
B612? c'est la planète du Petit Prince, d' Antoine de Saint-Exupéry.
Bon, revenons à nos moutons...
En Islande, les moutons sont en liberté partout et ils affectionnent les bords des routes, allez savoir pourquoi, même la route n°1 ... alors s'il y en a à droite mais aussi à gauche de votre route, il faut faire gaffe, ceux de droite vont forcement vouloir rejoindre ceux de gauche, ou inversement, on ne peut pas savoir.
En ce moment, il y a beaucoup de petits agneaux, alors au moment de traverser la route, Aline dit au petit "tiens bien le pis de ta mère" j'ai trouvé ça trop mignon
Bien sûr, on a fait plusieurs fois le tour du champ de laves Berserkjahraun, dont une fois avec mes 2 (ex) collègues du Ganil, Marie-Hélène et Marco. Plus habitués à la chaleur sicilienne et l'Etna, l'Islande est une vraie découverte pour eux, surtout Marco qui craignait le froid.
Mais même quand il ne fait pas très beau, l'Islande réussi à vous émerveiller et vous faire oublier les désagréments météorologiques. Ce qui fut le cas pour eux, chouette!
Enfin, le clou du voyage pour Aline: le Snæfellsnes, comme une évidence quand on aime la littérature
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