Samedi 22 avril, j'ai marché 17 km pour aller à Stykki faire des achats alimentaires (au lieu de 28 car Anne et Seb m'ont prise en stop au retour).
Dimanche 23, environ 13 km pour Drápuhlíðarfjall.
Lundi, repos, langue glaciaire perlée terminée:
Suis contente, c'est ce que j'espérais réaliser. La glace, ça brille, c'est riche, donc les perles, c'est OK. L'épaisseur d'une langue glaciaire me semble également rendue. Les petits triangles jouent bien leur rôle d'icebergs en donnant du volume et un aspect encore plus impénétrable de ce paysage. La plaque de céramique rend également bien cet aspect morainique minéral sombre, sinistre.
Ça fonctionne bien sur la photo à échelle, donc sur la vraie céramique de Aline Robel, ça sera beaucoup mieux, Youpi !
Aujourd'hui (mardi 25 avril) il fait frais mais beau, quelques nuages sont posés sur les cimes, je serai bien retournée à Drápuhlíðarfjall mais je ne suis pas sûre de moi ni de la météo; s'il y a des nuages, la vue sera limitée. + mal dormi, je me suis couchée à 2 h du matin car il y avait l'annonce d'une aurore boréale possible. Pas vu d'aurore, le ciel vers le Nord est maintenant trop clair. Ici à 2h du matin:
D'ailleurs à 4 h il fait suffisamment jour pour voir le bord de mer, les silhouettes des montagnes et les chevaux broutant. A 6 h, pas la peine de lutter, autant se lever.
Donc je décide d'aller dans mon champ de lave favori. Aller au Kothraunskúla 20 km aller-retour.
Évidemment, une fois là, je décide de continuer sur la Berserkjahraun 558 soit 6 km de plus. J'ai le temps, il ne fait pas chaud (4°) mais beau, temps idéal pour marcher.
C'est quelque chose que je voulais faire de toutes les manières, Yohann en avait eu très envie aussi, mais pas eu le temps et le jour possible la météo était à la pluie.
Quelques photos
Kothraunskúla:
Seljafell:
Seljafjörður:
au niveau de l' * on rentre vraiment dans le champ de lave:
Smáhraunakúla:
Dernier clin d’œil , mais qu'a fait ce lion pour être ainsi immobilisé?
Pas d'autre photo car batterie du téléphone épuisée.
Me voilà arrivée sur la route 54. C'était si bien cette piste sans aucune voiture ni aucune personne, toute seule au monde, dans ce paysage que j'aime passionnément. Je referai cette marche dans l'autre sens.
Soit je rentre par ma piste, sympa, soit par la 54, pas drôle, mais pour voir cette face du Drápuhlíðarfjall (et peut-être tenter le stop).
Dans les 4 derniers kms, un policier s'arrête pour me dire que je marche du mauvais côté, je lui explique que je sais mais que du bon côté, les conducteurs arrivent avec le soleil en face, sont éblouis et risquent de ne pas me voir, surtout qu'ici ils roulent très vite, il est d'accord et du coup il me dépose au croisement, j'ai gagné 4 km (1 h de marche environ).
Pas de photos, mais peut-être un passage par la vallée entre cette montagne et l'Irafell. A étudier.
Quelle belle journée.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire