Depuis la route de Keflavik vers Grindavik, sur la route à 11h :
Quelques minutes plus tard, entre Grindavik et le volcan, à 11h20, c'est le lever du soleil sur la mer :
On démarre la montée vers le site éruptif, quel chemin choisir ? on choisit le B, à gauche toute !
"ça caille grave" dixit Françoise, alors on s'équipe comme pour le ski alpin...
Françoise porte 1 tricot de peau en laine + 1 pull cachemire à col roulé + 1 pull irlandais à col roulé + 1 gilet doudoune sans manche + 1 doudoune longue à capuche + 1 cagoule polaire = ça c'est pour le haut ; pour le bas : 1 collant Odlo + 1 pantalon en toile + 1 pantalon de ski haut à bretelles et ça n'est pas fini car n'oublions pas les chaufferettes dans les pieds et dans les mains !
Bon, on a eu tout de même un - 5 degrés avec vent du Nord à 39 km/h, ce sont les doigts des mains qui trinquent le plus :
Forts de leur expérience de 1973 où les islandais avaient réussi à dévier une coulée de lave de l'éruption de Heimaey (îles Vestmann), cette fois, ils ont construits des murs de terre pour empêcher la lave de passer dans certaines vallées et atteindre la route littorale. Sur notre photo, on voit que ça a fonctionné là.
Ca fait envie, belle balade. Et les photos sont nettes parfois... c' est chouette... Bises les filles. Le chauve masqué.
RépondreSupprimerAvec 39 km/h de vent, pas facile de tenir l'appareil photo sans bouger, sans compter les mains glacées. On fait ça pour vous alors molo sinon Françoise ne rentre pas ! na !
SupprimerBen non faut qu' elle rentre elle aura chaud... et puis s' il y a du vent, faut monter la sensibilité de l' appareil et du coup faire les photos en vitesse rapide... Bon fallait partir avec un photographe-cuisinier, ou un cuisinier- photographe.Mais même sans ça ça fait envie. Bon courage pour la suite...
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