C'est pas tout ça, mais ...

Je suis quand même ici pour  bosser un peu, rien à voir avec le boulot pour gagner des sous, là, c'est du boulot pour gagner du plaisir.

Mais bon, des fois, ça coince

voilà le sujet, photo normale et photo un peu macro dont 1 détail :

 

1er essai : 

Je veux rester dans mon format "petit" 11x11cm, j'ai donc démarré direct à partir de la macro, 

des tubes en verre +

du fil transparent, très fin, très galère car se casse facilement et ne tient pas dans le chas de l'aiguille, donc on n'arrête pas de renfiler son fil, les nœuds ne tiennent pas +

une feuille plastique dur transparent sur laquelle je place ces tubes:

+ tissu de dessous :

 

 

égal :

le résultat :

bon un peu décevant quand même, une vingtaine d'heures de travail, mais finalement, ce n'est pas cet effet qui m'intéresse, je suis allée trop dans la macro

2ème essai, même technique, mais un peu moins macro :

je ne suis pas plus satisfaite, alors on oublie et on essaie autre chose, encore un cran de moins question macro

pas de plastique, pas de fil transparent, que du coton à broder et des petits tubes :

 

Bon, je m'arrête là pour le moment, près de 30 heures passées, il faut faire une pause et y revenir plus tard, que ça cogite.

En attendant mes perles envoyées par ma copine Martine du Havre le 14/01 (...) pour finir la langue glaciaire, je veux démarrer un autre projet: des plaques de glace comme des icebergs en débâcle.

J'avais fait ces travaux avec des verres dépolis, le 1er appelé VERRES DE MER et le suivant appelé ICEBERG :

Concernant le second que j'avais d'abord appelé DÉBÂCLE, une autre Martine amie m'a fait une remarque très positive: mes petits icebergs sont trop "sages" trop bien rangés, ça ne fait pas débâcle, ça fait plutôt "iceberg",  je ne pouvais qu'être d'accord.

Voilà ce que j'ai photographié tout près d'ici et que je vais traiter maintenant :

Le sculpteur LISTON de Grundarfjordur m'a gentiment percé les trous dans mes verres dépolis:

voilà le dessin (sans doute poser les verres plus les uns sur les autres, mais l'idée est là):

Y'a plus K

à suivre...